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Comment déterminer si un passage à un service électrique de 200 ampères est nécessaire pour mon sous-sol ?
le 20 Février 2025Salut PixelBuzz, L'éclairage LED, c'est clair que c'est un plus, j'y ai pensé direct. J'ai justement regardé les specs des ampoules que je comptais prendre pour la salle de ciné, et en gros, si je prends des GU10 LED dimmables, je peux tabler sur du 5W par ampoule. Si j'en mets 6 au plafond, ça fait 30W, et si j'ajoute une lampe de bureau LED de 10W, on arrive à 40W pour l'éclairage principal. Franchement, c'est peanuts par rapport à un bon vieil halogène de 50W pièce ! Ce qui me chiffonne plus, c'est la conso du matos audio/vidéo. J'ai un ampli Home Cinéma qui peut tirer jusqu'à 600W en crête (un Yamaha RX-V6A, si ça parle à quelqu'un), et le projecteur, un Optoma UHD35, est donné pour 290W max. Bon, en utilisation normale, je pense pas que ça tire autant, mais faut prévoir la marge, comme disait Lefèvre. Sans parler du PC et de l'écran du bureau, qui doivent bien pomper 150W à eux deux. Au total, ça commence à faire une petite addition. Si on résume grossièrement : 600W (ampli) + 300W (projecteur) + 150W (PC/écran) + 40W (lumières) = 1090W. Ça fait à peine 5 ampères sous 230V. C'est sûr que ça ne justifie pas un passage à 200A à lui seul. Mais c'est sans compter les autres appareils de la maison qui peuvent tourner en même temps... Faut que je fasse le point sur la conso globale, en fait. Merci pour la piqûre de rappel, PixelBuzz !Qu'avez-vous pensé de votre transition d'une petite entreprise de construction à une grande entreprise de renom dans le domaine des travaux ?
le 19 Mars 2025SalomonLeSage, je suis d'accord sur le coaching individualisé, mais je pense qu'il faut aller encore plus loin. Les séminaires, c'est bien pour poser un cadre, mais ça reste très théorique. Il faudrait peut-être envisager des mises en situation réelles, avec des simulations de rendez-vous clients, des jeux de rôle où les commerciaux doivent gérer des objections ou des situations conflictuelles. Et pour la certification, je suis d'accord, il faut qu'elle soit vraiment pertinente pour notre secteur. J'ai entendu parler de certaines certifications axées sur la "satisfactionclient", mais qui sont souvent déconnectées des réalités du terrain. Il faudrait peut-être même créer notre propre programme de formation interne, avec des experts du bâtiment qui connaissent les spécificités de notre métier. En creusant un peu, j'ai trouvé des chiffres intéressants sur l'impact de la formation sur la fidélisation client. Une étude de l'AFPA révèle que les entreprises qui investissent dans la formation de leurs employés ont un taux de fidélisation client supérieur de 15% par rapport à celles qui ne le font pas. C'est un argument de poids, non ? Et selon une enquête de la CAPEB, 78% des clients se disent prêts à payer plus cher pour un service de qualité, fourni par des professionnels compétents et bien formés. Donc, oui, ça ne remplacera peut-être pas le contact direct d'une petite structure, mais ça peut clairement améliorer la qualité de la relation client et, à terme, fidéliser davantage les clients. L'investissement dans la formation, c'est un peu comme un placement à long terme, ça demande des efforts au début, mais ça rapporte gros sur la durée.
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